Depuis le temps qu’elle nous chauffait avec la sortie de cet EP, on le voit débarquer d’un coup d’un seul sur la toile, et c’est donc parti pour quatre tracks. Il y a même eu un leak quelques jours avant la sortie, rien de bien grave il semblerait, en tout cas on a de quoi faire, et ça c’est une bonne nouvelle.
Azealia Banks s’impose sur « 1991 » avec une aisance déconcertante, sur « Van Vogue » on tombe sur une instru minimaliste sacrément efficace, sur « 212″ qui sample à mort on a l’impression que sa voix fait parti du second plan, un peu difficile de juger. Et enfin, oui c’est déjà la fin, « Liquorice », le genre de morceau où on ressent le talent de la jeune rappeuse, autant que sur « 1991 » justement.
Il y a fort à parier que cet EP va beaucoup l’aider pour la suite.
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